Il y a un an, qui aurait parié sur le succès fulgurant que connaît actuellement Aya Nakamura ? Peu de monde. Et pourtant, celui-ci est indiscutable. Cinq mois après sa sortie, son deuxième album « Nakamura » continue de briller et vient d’être certifié double disque de platine, pour plus de 200.000 équivalents ventes (physiques, téléchargements et streaming). Véritable révélation de 2018, la chanteuse a explosé avec « Djadja » qui s’est vite imposé comme l’un des tubes de l’été. Grâce à plus de 300 millions de vues, le clip est devenu la vidéo francophone la plus vue l’année dernière. Et pour persévérer, l’artiste qui a grandi à Aulnay-Sous-Bois a fait perdurer son succès avec « Copines » ou « La dot ». C’est simple, depuis sa sortie, l’album n’a quasiment pas quitté le top 10 mégafusionné du SNEP !
Un succès à l’international
Et ce succès dépasse largement les frontières. Aux Pays-Bas, Aya Nakamura est devenue une star depuis que « Djadja » a trusté le sommet des charts. Là-bas, elle est la première artiste féminine française depuis Edith Piaf à avoir décroché la place de numéro un avec l’une de ses chansons, tandis que l’opus a décroché un disque d’or. Et les médias anglo-saxons ne tarissent pas d’éloges : la chanteuse a accordé un entretien fleuve au magazine américain The Fader qui titre « Aya Nakamura est en train de magnifiquement bouleverser les règles françaises ». Même le prestigieux Forbes l’a cité parmi les jeunes artistes européens les plus influents aux côtés de George Ezra, Sigrid et même Vald ! Présente dans de nombreux festivals dont We Love Green ou le Printemps de Bourges, Aya Nakamura conclura l’année avec une première grande tournée des Zéniths.
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