©AFROGUINEE a réussi a faire parler la Gendarmerie et d’autres structures étatiques guinéennes sur le dossier « sensible » du chanteur Djahman, placé en garde à vue ce mardi pour son titre jugé insolent « M’wama Pokêti Fé ».
« Votre artiste sera libéré à une condition qu’il prenne l’engagement de ne plus produire des chansons contraires au respect des mœurs et traditions. Peut-être, la deuxième condition, qu’il retire immédiatement cette chanson du net…. Mais avant, nous sommes en train d’étudier d’autres dossiers du genre et voir même, convoquer les concernés…Il faut que ça s’arrête. Nous devons respecter la femme… », nous ont confié, nos sources gendarmes.
A quand, le chanteur sera alors libéré ? Nos interlocuteurs ont été très évasifs face à la question avant de nous couper au nez. Mais certaines sources étatiques nous font savoir que l’artiste serait relâché dans la journée de ce mercredi 13 février, mais sous conditions bien sûr.
D’autres nous révèlent que l’ordre d’arrêter le concepteur de « Soukoundaye » vient tout droit, des plus hautes autorités du pays qui se sentiraient très choqués.
A rappeler que pendant l’audition à la Gendarmerie de Madina, Djahman aurait reconnu toutes les charges qui pèsent lourdes sur sa personne. Il a bien assumé la paternité de la chanson mise en cause « M’wama Pokêti Fé » qui défraie la chronique et agite la toile. Les commentaires vont bon train et ce dossier cristalise les débats dans les quartiers et sur le réseau social guinéen. Soukoundaye !
Syta pour Afroguinée
Entre ses musiques et l’homosexualité qu’ es qui est plus grave pourtant vous voyez les PD se balader partout à conakry et vous applaudissez pour eux moi je penses que les guinéens doivent laisser ce Mr TRANQUILLE si tu n’aimes pas ses musiques il y’a beaucoup d’artistes partout dans le monde.