Un retour en 2002 s’impose. Le 10 octobre de cette année-là, le rappeur Jay Z et l’ancienne Destiny’s Child Beyoncé sortent un premier duo. Et pas n’importe lequel: ils jettent leur dévolu sur l’histoire, mythique, de Bonnie & Clyde, qu’ils revisitent version 00″s avec un sample du Me & My Girlfriendde Tupac. Un coup de génie. Aussitôt le morceau sorti, des rumeurs de couple se propagent. Elles ne seront jamais démenties, et finiront par être confirmées des années plus tard.
[youtube id= »copiznIfV3E » width= »600″ height= »350″]Marqueur de naissance de leur couple et de leur carrière commune, ’03 Bonnie & Clyde est le fil conducteur du On The Run Tour et de leur première date parisienne. De bout en bout, le show raconte une histoire. Ou plutôt deux histoires: celle des Bonnie et Clyde du clip sorti en 2002, que l’on retrouve plus beaux, plus sexy, plus sauvages que jamais dans une poignée de courts métrages noir et blanc diffusés tout au long du concert; et celle de Jay Z et Beyoncé, couple successful s’il en est qui ferait presque passer les Brangelina pour de pauvres nazes.
Vous l’aurez compris, Jay Z (t-shirt frappé du drapeau américain, bonnet noir et lunettes de soleil) et Beyoncé (body noir pailleté) ouvrent leur concert sur ’03 Bonnie & Clyde, avant d’enchaîner avec deux autres de leurs duos, Upgrade You (2007) et Crazy in Love (2003). Autant dire que les enfants des années 90, bercés de r’n’b, ont le sourire aux lèvres et les yeux brillants.
Jay Z et Beyoncé ont sorti en tout et pour tout dix duos. Or, le calcul est vite fait, impossible de tenir un Stade de France avec dix morceaux. Le concert alternera donc duos et morceaux solo. Jay Z opte pour Diamonds from Sierra Leone, un duo avec Kanye West (qui ne débarquera pas sur scène avec un masque en diamants comme dans nos rêves les plus fous), et Tom Ford.
Beyoncé, elle, joue la carte féministe en enchaînant Run The World (Girls) et Flawless, qui dénonce – de façon ironique – les diktats esthétiques imposées aux femmes par la société. Alors que Queen Bey se déchaîne dans son rôle de féministe guerrière, coiffée d’un casque romain, SURPRISE (enfin, pas pour ceux addict à leur Instagram), Nicki Minaj débarque sur scène et entame son couplet (Beyoncé a sorti une nouvelle version de Flawless avec Minaj). Mais l’apparition est si furtive que l’on se demande si l’on n’a pas rêvé. Il n’y aura donc ni Anaconda, ni twerk effréné. Dommage, la perspective d’un triumvirat était assez réjouissante.
Marqueur de naissance de leur couple et de leur carrière commune, ’03 Bonnie & Clyde est le fil conducteur du On The Run Tour et de leur première date parisienne. De bout en bout, le show raconte une histoire. Ou plutôt deux histoires: celle des Bonnie et Clyde du clip sorti en 2002, que l’on retrouve plus beaux, plus sexy, plus sauvages que jamais dans une poignée de courts métrages noir et blanc diffusés tout au long du concert; et celle de Jay Z et Beyoncé, couple successful s’il en est qui ferait presque passer les Brangelina pour de pauvres nazes.
Vous l’aurez compris, Jay Z (t-shirt frappé du drapeau américain, bonnet noir et lunettes de soleil) et Beyoncé (body noir pailleté) ouvrent leur concert sur ’03 Bonnie & Clyde, avant d’enchaîner avec deux autres de leurs duos, Upgrade You (2007) et Crazy in Love (2003). Autant dire que les enfants des années 90, bercés de r’n’b, ont le sourire aux lèvres et les yeux brillants.
Jay Z et Beyoncé ont sorti en tout et pour tout dix duos. Or, le calcul est vite fait, impossible de tenir un Stade de France avec dix morceaux. Le concert alternera donc duos et morceaux solo. Jay Z opte pour Diamonds from Sierra Leone, un duo avec Kanye West (qui ne débarquera pas sur scène avec un masque en diamants comme dans nos rêves les plus fous), et Tom Ford.
Beyoncé, elle, joue la carte féministe en enchaînant Run The World (Girls) et Flawless, qui dénonce – de façon ironique – les diktats esthétiques imposées aux femmes par la société. Alors que Queen Bey se déchaîne dans son rôle de féministe guerrière, coiffée d’un casque romain, SURPRISE (enfin, pas pour ceux addict à leur Instagram), Nicki Minaj débarque sur scène et entame son couplet (Beyoncé a sorti une nouvelle version de Flawless avec Minaj). Mais l’apparition est si furtive que l’on se demande si l’on n’a pas rêvé. Il n’y aura donc ni Anaconda, ni twerk effréné. Dommage, la perspective d’un triumvirat était assez réjouissante.