Quelle ascension depuis l’élection de Miss Orléanais, à Montargis ! Flora Coquerel est devenue Miss France 2014 et vient d’obtenir une belle 4e place à Miss Univers.
Flora Coquerel, Miss France 2014 et 4e au concours Miss Univers à Las Vegas en décembre dernier, jouait l’ambassadrice lors de la présentation du nouveau Rav4 hybride chez Toyota Orléans, vendredi soir.
Geneviève de Fontenay raccroche son chapeau. Après avoir fait défiler des miss durant soixante ans. Un sentiment ? Elle restera toujours l’icône du monde des miss. Miss France a été son bébé. Elle a fait un très joli parcours. Je ne l’ai pas connue en tant que Miss France mais je l’ai croisée parfois. Je lui souhaite le meilleur.
Toujours en matière de retraite, certains voient Camille Cerf pour succéder à Sylvie Tellier, à la tête du comité Miss France. Pourquoi pas vous ? Je me vois mal à cette place-là. Miss France, c’est beaucoup de travail et il faut le vouloir. Camille est une bonne candidate. J’ai d’autres aspirations.
Satisfaite de votre 4e place à Miss Univers ? Je suis partie avec l’esprit guerrier, essayer de décrocher cette couronne, ramener la France au top du concours. Je n’ai rien lâché durant trois semaines, toujours au maximum. J’ai adoré cette expérience et j’ai été ravie d’atteindre le top 5.
Un mot sur le couac du présentateur ? Incompréhensible. Je me suis dit, je vais attendre deux minutes parce que, peut-être, vais-je gagner finalement. Cela pour rigoler et détendre l’atmosphère avec la copine qui était à côté. Mais cela m’a fait mal au cœur pour « Colombie ».
Votre belle place à Miss Univers permet-elle de réviser à la hausse vos tarifs pour une prestation commerciale comme celle de ce soir ? Je n’y ai pas réfléchi mais peut-être que cela sera dans mes bonnes résolutions 2016 (elle éclate de rire).
Aujourd’hui chez Toyota. Demain pour faire la promo des petits pots pour bébés ou les couches culottes pour seniors. Cette marchandisation de votre image n’est pas frustrante ? Non. On choisit les prestations. Là, il s’avère que c’est ma région. Je n’ai pas eu énormément d’occasions de revenir sur mes terres. Et c’est un événement sympa, convivial.
En termes d’image encore, votre nom avait été avancé pour faire la promotion de la Cosmetic Valley. J’ai rencontré les dirigeants de la Cosmetic Valley la semaine dernière. Je reste ouverte à leurs propositions?; le message est passé (rires). Après, en termes d’égérie, ce n’est pas en claquant des doigts que cela se fait. Un jour peut-être…
Vos études, la vraie vie, votre association Kélina ? J’ai eu mon diplôme en commerce international. Aujourd’hui, à 21 ans, je fais une pause. Avec Kélina, on retourne au Bénin cet été pour poser la première pierre de la maternité. Et j’ai envie de lancer ma marque de cosmétiques. Des crèmes, des soins. Pas sous mon nom?; Pour l’instant, je n’ai pas encore trouvé ma marque.