Carton plein pour Rihanna ! Toujours numéro un aux États-Unis grâce à « Work », son duo avec Drake, la chanteuse réussit à battre un record de longévité détenu par les Beatles. Désormais, elle s’attaque à la championne toutes catégories : Mariah Carey…
S’il est encore trop tôt pour tirer un bilan définitif, une chose est sûre : l’ère « ANTI » de Rihanna aura dérouté son public. Trop contrasté, lancé dans le chaos le plus total, le huitième album de la popstar a loupé son démarrage dans les charts. En France, l’album ne culmine qu’à 35.000 ventes en deux mois, après avoir été offert gratuitement sur Tidal durant une semaine. Pour l’heure, la chanteuse affiche un score très éloigné de celui de son prédécesseur « Unapologetic », qui était parvenu à séduire 280.000 fans sur la durée.
Les Fab Four relégués au second plan
Si les ventes de l’album déçoivent dans le monde entier, Rihanna a tout de même décroché un tube planétaire : « Work », qui marque sa troisième collaboration avec le rappeur canadien Drake. Objet de détournements massifs sur la toile et promu par un double clip torride, le morceau urbain est devenu un phénomène. Aux États-Unis, il occupe la tête du Billboard Hot 100 depuis neuf semaines consécutives ! Un plébiscite qui permet à la chanteuse de faire mieux que… les Beatles, sur le terrain de la longévité.
Grâce à « Work » et sa collection d’anciens tubes (« Umbrella », « We Found Love », « Disturbia »…), Rihanna a passé un total de 60 semaines en tête des charts américains. Impressionnant ! Elle surclasse donc Paul McCartney, John Lennon et leurs acolytes qui, eux, n’ont dominé les classements « que » durant 59 semaines. Si elle veut définitivement rentrer dans l’histoire de la musique aux États-Unis, Rihanna va devoir mettre les bouchées doubles. C’est Mariah Carey qui détient en effet le record absolu avec un total de 79 (…) Lire la suite sur purecharts.fr